Je regardai et je vis un être qui ressemblait à un homme[a]. En dessous de ce qui semblait être ses reins, c’était comme du feu, et au-dessus, il y avait comme l’éclat d’un métal.

Cet être tendit une forme de main et me saisit par une mèche de mes cheveux, et l’Esprit me souleva entre ciel et terre et me transporta dans une vision divine à Jérusalem, à l’entrée de la porte du parvis intérieur du Temple, celle qui est tournée vers le nord, où se trouve la statue de la provocation, celle qui provoque l’Eternel qui ne tolère aucun rival[b]. Et voici que la gloire du Dieu d’Israël m’apparut là, exactement comme je l’avais vue dans la plaine[c].

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Footnotes

  1. 8.2 à un homme : d’après l’ancienne version grecque et le contexte. Le texte hébreu traditionnel a : à un feu. Les mots homme et feu se ressemblent en hébreu.
  2. 8.3 La statue de quelque idole étrangère (voir Ex 20.5), peut-être celle de Tammouz (v. 14) ou d’Ashéra que Manassé avait dressée dans le Temple (2 Ch 33.7 ; 2 R 21.7).
  3. 8.4 Voir 3.22-23. 8.1 à 11.25 décrit le départ de la gloire de l’Eternel du Temple et de Jérusalem (9.3 ; 10.18-19 ; 11.23). Pour son retour, voir 43.2.